Certains points importants peuvent nous aider quand vient le moment du choix, ceux-ci peuvent s’appliquer autant aux praticiens, aux patients qu’aux enseignants dans leurs démarches.

Premièrement, la réalité physique étant en transformation constante comme nous le confirme expressément la science moderne, il parait alors délicat de pouvoir la définir de telle ou telle manière.
“On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve”, disait Héraclite il y a cela près de 2500 ans en Grèce. “Regarde attentivement car ce que tu vas voir n’est plus ce que tu viens de voir” dira 1000 ans plus tard Leonardo da Vinci . Fondamentalement, nous ne voyons pas les choses comme elles sont, mais comme nous sommes !

Le meilleur que vous recherchez dans une approche ou dans un praticien est déjà là en vous-même!
Vous marchez déjà sur le trésor que vous cherchez. C’est quand on arrête de chercher à l’extérieur en général, que l’on trouve à l’intérieur. “La réponse est dans notre question”, disait Rumi.

Notre capacité de discernement, au-delà d’une opinion, est souvent une question d’attention et de conscience. Le thérapeute ou enseignant humble et honnête vous affirmera qu’il n’y a aucune méthode meilleure qu’une autre, ou même de praticien ou d’enseignants meilleur qu’un autre dans ce domaine ! Ce n’est pas votre thérapeute ou votre enseignant qui a la solution, c’est vous !
S’il est un rôle pour le thérapeute ou l’enseignant c’est uniquement faciliter ce qui fait déjà partie de vous.

Fort heureusement, la nature est si bien faite qu’au plus profond de votre cœur, vous savez quelle personne choisir ! “La joie profonde du cœur est une boussole qui nous indique le chemin de la vie” nous enseignait la Mère Theresa. Je vous suggérerais de suivre “l’appel de votre CŒUR”, car lui seul sait !

Le saviez-vous?

Les scientifiques américains par des recherches intensives pendant plus de 40 ans ont montrés clairement comment l’activité cardiaque affecte le fonctionnement de notre cerveau.
Quand l’activité de notre cœur est ordonné et stable, il optimise nos fonctions cognitives et affecte aussi profondément la façon dont nous percevons, pensons, sentons, et agissons.

A propos de cet organe, le cœur où la tradition veut qu’il soit le siège de nos émotions, la science, a aussi récemment découvert que loin d’être une simple pompe régulant la circulation sanguine, il comportait des dizaines de milliers de neurones et qu’ils émettent le champ électromagnétique le plus puissant du corps, bien plus que le cerveau ! De plus il a la capacité d’anticiper nos réactions futures en modifiant nos réactions physiologiques AVANT que l’événement les provoquant ne soit actuellement conscient au niveau du cerveau. Le cœur seul semble donc jouer un rôle déterminant dans nos capacités d’intuition…
(HeartMath Institute, USA)